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Ceci est la reprise de deux articles d'un connard de première. C'est ainsi, on a parfois besoin de mettre à disposition des trucs ignobles pour illustrer l'ignominie...

Il y a un an j'ai songé à résilier mon abonnement à Mediapart, puis par circonstance je l'ai maintenu pour, pensè-je, deux ou trois mois; depuis je l'ai conservé et suppose devoir le conserver quelques temps encore – pas de date limite désormais...

Qu'il ne fait pas bon y dire que tous et chacun nous en savons autant.

Toujours pareil, la même chose que vous: pas grand chose.

Une question que j'évoque dans plusieurs billets, celle du “comme jamais auparavant!”. C'est rare, c'est très rare, c'est extrêmement rare, que se produise quelque chose d'inédit. Simplement, on oublie, et la forme change un peu, donc on suppose que le fond aussi.

C'est l'exclamation émise sur un ton très sérieux par Clara Lecoq Réale, la présentatrice du journal de 6h30 sur France Culture, ce jeudi 27 février 2017. Savoir si elle était vraiment sérieuse – j'en doute sans pouvoir le certifier.

Difficile de prouver à qui vit “dans l'action” ou “dans la passion” ce qu'est l'harmonie, ou non-violence, ou ataraxie, ou non agir, ou... Bref, ce qu'est de ne pas vivre “dans l'action” ou “dans la passion”. Rapport au fait que tous nous vivons la même vie.

Vaste programme, avait dit un bon auteur (pas spécialement un homme bon, mais un auteur de bons mots). Raison pourquoi j'espère qu'il ne se réalisera pas mais sans certitude, tant les cons et les salauds sont acharnés à leur propre perte...

Une série en cours de “Matières à penser” me semble intéressante pour «penser la catastrophe». Le premier épisode convoque un philosophe “jonasien”, le second un philosophe dans la ligné épicurienne. Penser la catastrophe me semble plus efficient et à terme plus efficace si on suit la leçon d'Épicure et de son école.

Ce trois cent quarante deuxème billet ne suit pas la numérotation inaugurée avec «334» mais comme cette numérotation n'a pas de pertinence évidente ça n'a pas grande importance. Son numéro a sa logique interne, le propos du billet “précède le billet «334»”, et réfère au titre d'une bande dessinée de mon enfance, que je trouvais délectable.

Une opinion simple: un de mes meilleurs, possiblement le meilleur.

Je suis un être social, profondément social, donc social à fleur de peau. Du fait, quand la peau me gratte ça m'irrite profondément. Et quand je suis profondément irrité, ça affleure. Bref, ce qui atteint ma surface atteint mon être intime et ce qui meut mon être intime meut ma surface.

C'est le titre d'un roman de Thomas M. Disch, et le numéro d'ordre de ce billet, premier surnuméraire de ce blog. Un excellent roman, comme le plus souvent avec cet auteur dans sa première période, de mon point de vue.

Encore un titre emprunté à un auteur, Ernst Hans Gombrich cette fois. Un bouquin que je n'ai pas lu. Ma brève Histoire n'aura rien à voir avec celle de cet auteur, d'autant que je ne compte pas conter toute l'Histoire du monde, juste un tout petit bout.

Autant dire, un espion à domicile. Mais un locataire, rapport au fait que chaque vivant est dans la vie à temps compté. Cette fois le titre est un calque du roman d'Anaïs Nin «Une espionne dans la maison de l'amour», en version originale «A Spy in the House of Love». Pas lu non plus mais le titre me plaît, et son calque parle de moi. Et de vous. Et de tout individu.

Voilà une chose évidente: la domination est dominatrice ou dominante, bref, la domination domine. Évidente? Pas tant que ça...

Tout domaine du savoir réputé scientifique est en quelque manière historique. C'est plus large: le savoir transmissible a un caractère historique en ce sens qu'il tire parti au présent d'une connaissance du passé pour un projet futur. Ce qui pose la question du temps.

Un autre titre piqué à un auteur, Stephen Hawking. Un livre que je n'ai pas lu (et que je ne compte pas lire), et un discours qui n'a pas grand chose à voir avec celui de ce billet. Ou peut-être que si...

On parle de langues mortes et de langues vivantes, ce qui n'a guère de sens: il y a des langues disparues, des langues dont on a des indices mais pas de traces ou des traces mais pas d'indices, et les autres; ces autres langues sont nécessairement vivantes.

Les mots, je n'en connais pas vraiment le sens, par contre ils me font signe, charge à moi de leur donner un sens.

Je ne sais s'il vous est arrivé de lire la traduction de la Bible par André Chouraqui. Moi si. Enfin, pas vraiment: je l'ai consultée.

La notion d'âge exprimée en termes subjectifs est nécessairement subjective: si j'ai dix ans, un trentenaire est un vieux, si j'en ai cinquante, c'est un jeune. Et quel que soit mon âge, j'évaluerai la “jeunesse” ou la “vieillesse” d'une personne non en fonction de son âge mais de son parcours de vie.

«Pauvre brouillon» est le titre d'un billet un peu ancien désormais.

En tout cas, je ne suis pas l'auteur de ce texte, c'est certain.

J'ai un rapport distant aux nombres. Disons que je n'y crois pas mais ne conteste pas leur existence, surtout quand ils me sont utiles. J'ai un rapport complexe à mes semblables, a priori je les suppose aimables et pertinents, a posteriori ça ne se confirme pas si souvent.

Une de mes blagues.

Le mot “exégèse” devrait être un synonyme du mot “lecture” et se différencier nettement des mots “glose” et “commentaire”. Ce qui n'es pas toujours le cas.

Un billet qui reprend le titre d'un article publié sur mon site personnel. Celui-ci n'aura rien de commun sinon la proposition initiale: c'est Ma Pomme! N'importe quelle Pomme! Mais spécialement Ma Pomme.

Censément, dans les billets récents numérotés je tente de reprendre mes principales propositions en plus serré et dense. C'est plus ou moins réussi, et plus ou moins exact. Ici, je tenterai de préciser pourquoi nous ne savons rien de certain de la réalité mais n'en savons pas moins beaucoup de choses assez proches de la certitude.

Les amateurs de cet auteur auront reconnu un titre d'Ivan Illich dans celui de ce billet. Pas sûr que j'y causerai du même sujet que lui, il y a longtemps que je l'ai lu, je m'en rappelle donc vaguement.

En général je suis de plutôt bonne composition, pas vraiment un gentil gars mais du moins, quand quelqu'un dit une grosse connerie, voire même une grosse saloperie, je reste sur mon quant-à-soi ou tout au plus émets un avis divergent mais modéré. Sauf quand une personne me dit, à propos d'un phénomène extrêmement ordinaire qu'il est extraordinaire, «comme jamais auparavant!».

Il faut du temps pour voir le monde un peu plus loin qu'au pas de sa porte. Pour certains, ça prend plus que le temps d'une vie. Si on y parvient, on découvre alors qu'on a le monde à sa porte.

Que doit faire un auteur qui a souci qu'on le prenne au sérieux: exposer ses idées de manière distanciée, neutre, sans la présence d'un narrateur, où s'y impliquer à la première personne? choisir ses verbes, éviter d'user trop des trois ou quatre qui servent d'auxiliaires, ou selon l'usage commun se cantonner à un nombre limité de verbes?

Ils se font simples propagandistes de l'état des choses. Dans leur majorité du moins.

Un sujet que j'aime bien, je l'ai déjà traité au détour de quelques billets. Il n'est pas strictement impossible d'être anonyme sur Internet, mais de la même manière que n'importe où ailleurs dans l'espace social: en le devenant avant de pénétrer dans un contexte d'activité.

La réponse est simple: dans la forme c'est un mot; dans le fait, c'est un processus.

Ouais, je dis comme vous: la proposition de ce titre est paradoxale.

La réponse à la question du titre ne m'intéresse pas, bien sûr. Ce sur quoi je m'interroge est: que peut-on définir comme du travail?

J'en parle au détour de deux ou trois billets, j'en fais le bref sujet de celui-ci.

Elle interroge les catégories. Toutes les catégories.

L'avant-dernier billet en date, celui numéroté 360, me semble un bon point d'entrée pour une réflexion que j'essaie de développer sans y être trop bien parvenu jusque-là.

Enfin, de la dernière «affaire Griveaux» en cours, ledit semble assez abonné aux «affaires». Mais jusque-là ça se limitait à des mises en causes de ses discours et de ses pratiques en tant que politicien. Là, c'est censément une «affaire privée». Ce qui interroge sur les limites entre le privé et le public, spécialement pour des personnes publiques.

Une société est un individu. La question est alors: comment agit un individu dans le monde?

Normalement c'est pas mon truc, j'aime bien qu'il y ait les paysages variés avec parfois du trop-plein et parfois du vide. Je vais en ce cas me contenter de compléter la numérotation de mes billets récents en publiant quelques brouillons plus ou moins (plutôt moins) aboutis.

Nouvelle vague de rapatriement de billets du «blog de Ma Pomme».

C'est Ma Pomme! N'importe quelle Pomme! Mais spécialement Ma Pomme.

La démocratie je ne sais pas trop ce que c'est mais je sais comment on la fait: avec la subsidiarité, la dévolution et la péréquation.

Je viens de rédiger dans le cadre de ce “blog” une petite fiction en treize épisodes dont le thème général est quelque chose comme «Discerner le vrai du faux». Un curieux projet de la part d'une personne qui manque de discernement et ne sait pas trop ce que sont le vrai et le faux.

Les responsables travaillistes accablés du vocable «antisémites» au prétexte que, étant «antisionistes», ils seraient antisémites, font l'objet d'un faux procès et vrai harcèlement. Faux procès parce qu'ils parlent en connaissant, vrai harcèlement parce que beaucoup de moutons qui suivent les loups ayant lancé cette campagne croient sans savoir. C'est ainsi.

Initialement, ce feuilleton est paru en treize épisode, plus un épilogue. Je rassemble ici tous les épisodes de la série, ou du feuilleton. Pas sûr du genre de cet ensemble.