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J'aborde un peu la question dans le billet «Le numéro que vous avez demandé n'est pas attribué», le système informatique nommé Internet avec plus ou moins d'exactitude a des coûts induits assez hauts et totalement injustifiés. Je vais me centrer dans ce billet sur ce point.

Vous savez pourquoi c'est une grande catastrophe, la disparition des insectes?

Je l'aime, je l'adore. Elle grandit tout ce qu'elle touche. Elle dit, un grand sourire dans la voix comme un soleil: Mais je me permet tout, je suis une personne hardie. Elle est moi, je suis elle, nous nous permettons tout, nous osons tout. Nous n'avons d'autre crainte que de ne pas oser. Nous sommes des personnes hardies.

Je ne dénigre pas mon lectorat mais je constate: ceux de mes billets qui attirent le plus de commentaires sont rarement les plus pertinents, ce sont les plus brillants. Et la lumière aveugle, elle met en avant la forme et masque le fond. La proposition du titre figure dans d'autres billets mais est passée inaperçue. C'est la solution à la crise actuelle en France.

Malgré la similarité des titres la question de ce billet n'a aucun rapport avec celle du précédent, sinon la question de la responsabilité.

Pour qu'ils ne soient pas entre les mains d'un seul. L'analyse fallacieuse du gouvernement française actuel masque la réalité: ils sont séparés mais non isolés, cette séparation vise précisément à faire que chaque pouvoir soit le gardien des autres pouvoirs.

On peut me faire confiance ou non. J'ai entièrement confiance en moi. Je me sais fiable. Je n'ai pas trop confiance en mes responsables politiques actuels car je perçois qu'il n'ont pas confiance en eux. Mon avis sur eux semble assez partagé. J'aurais des enfants que je ne les leur confierais pas. Alors, pourquoi les parents défiants envers eux leurs confient-ils leurs enfants?

Mais non! Pas du tout! C'est juste pour ressortir une blague de mon cru un peu ancienne en lien avec l'Algérie qui reprend de l'actualité.

Possible. Autant qu'on peut être parfois utilement méchant. Ou non.

Je me moque souvent des “psys” et presque aussi souvent des “religions”, ce en quoi je n'ai pas tort, mais je ferais aussi bien de me moquer des anti-“psys” et des anti-“religions”, ou de ne me moquer de rien ni personne, sinon moi – mais là ça va, je pratique assez l'auto-dérision.

En bon environnementaliste respectueux de la planète je fais du recyclage. Cette notion d'ultrasoviétisme je l'avais un peu discuté il y a un bout de temps, en 2000 ou 2002, je ne sais plus. C'est une remarque d'un député qui a décidé de cesser d'être "En Marche!" (militaire?), qui me fait y revenir, et le contexte social actuel bien sûr.

Qu'est-ce que ça peut bien signifier, “décroître”? Pas trop idée. Par contre, “croître” je sais, alors quand on me dit que “la croissance a cru (sic) de tant pour cent en France” et qu'on me dit en même temps que la productivité est en baisse en France, je me dis, «Croissance, mon cul!»

Ouais ben c'est logique: s'il y en a qui ont l'esprit dans la culotte, faut bien qu'il y en ait aussi qui aient les “gamétophores” sous les cheveux. Sauf les chauves, les tondus, les sans-culotte et les nudistes, bien sûr.

Au moins le 327°, j'ai perdu le fil. Sont cons les (bas du) Front national, quand tu fais venir des humains chez toi, ils ne remplacent rien, ils ajoutent de l'humanité, par contre quand tu fais venir des robots dans ton entreprise, les humains ils sont remplacés.

L'Histoire de la folie, initiée notamment par des penseurs et chercheurs nord-américains, britanniques et français dans quelques lustres qui suivent la deuxième guerre mondiale, est encore à faire en tant qu'Histoire mondialisée.

La musique aurait donc des couleurs définies et stables. N'ayant pas trop de capacités synesthésiques je ne discerne pas de couleurs dans les musiques mais j'ai comme dans l'idée qu'une musique “noire” ou “blanche” serait assez monocorde...

Au risque de la censure, je vais nominalement discuter ici d'une personne qui participe à Mediapart du côté de sa partie professionnelle en des termes qui pourraient superficiellement contrevenir à la Charte.

C'est le nom d'un humain, donc d'une personne. Et le nom d'un fleuve, donc d'une personne. Et d'une chanson, donc d'une personne. Si c'est le nom de tout le monde et de n'importe qui ou quoi, c'est le nom de personne! Voilà: un nom de personnes.

Les mots... Ont peut les dire dans n'importe quel ordre et on peut les entendre dans n'importe quel ordre. “On” étant vous et moi.

La fiction assumée et consciente est un puissant outil d'exploration du réel.

Je n'ai aucun doute sur le fait que les femmes sont des femmes et les hommes des hommes et aucun doute sur la nécessité pour les hommes et les femmes de “devenir femmes”. Pourquoi? Parce que si ça n'est pas réel du moins c'est vrai, et c'est vrai parce que nécessaire.

Les hommistes et les vieillistes ne le savent pas encore semble-t-il, ou s'ils le savent ils préfèrent l'ignorer, le féminisme et le jeunisme ont remporté la manche. On verra à la suivante mais à mon avis, nul qui vit en ce 5 juin 2018 ne connaîtra le résultat de la prochaine manche.

Je ne crois ni au conspirations ni aux complots, pourtant je participe à la conspiration des femmes contre le complot des hommes. C'est ainsi...

Soit on prend au sérieux la théorie de l'évolution actuelle, dérivée de la théorie darwinienne, ou la théorie de l'univers et l'anthropologie de la plupart des religions, soit non. Si c'est oui pour un au moins de ces cas, alors la notion même d'ennemi extérieur n'a aucune validité, s'il y a un ennemi, il ne peut qu'être intérieur.

François-Xavier Bellamy m'étonne: de l'avoir souvent entendu sur France Culture il m'apparaissait plutôt pondéré et pertinent, et je le découvre en tant que potentielle tête de liste du RPR excessif et peu pertinent. De l'autre bord, il y a une certaine logique à cela.

Un titre étrange de ma part car il propose trois concepts qui me paraissent douteux. Comme qui dirait, une accroche pour attirer un possible lectorat. Cela dit je ne suis pas à une incohérence près, d'autant que je compte effectivement parler de Dieu, d'aléa et d'élection...

Voilà le cœur d'un problème que je tente de pointer depuis longtemps: l'illusion du “de tout temps et de la mème manière”, et que je nomme l'illusion rétrospective.

Emmanuel Macron parle beaucoup de ce qu'il fera et de ce qu'il a fait mais n'aime pas parler de ce qu'il fait – ou ne fait pas. Comme par exemple pour cette Française otage depuis deux ans d'un groupe criminel au Mali, Sophie Pétronin.

Vous savez ce qui a fait chuter le gouvernement Allende au Chili? Une grève des camionneurs. Du coup, ça a désorganisé tout le pays et mis les “classes moyennes moyennes” en colère, parce qu'elles glissaient vers l'infériorité d'où elles émergeaient tout juste, et râler contre le pouvoir. Du fait elles ont applaudi quand il fut mis bas.

Un remarque d'un commentateur sur mon précédent billet, «Les camionneurs vénézuéliens», et la réponse que je lui fis, m'amène à rédiger celui-ci, où la question sera: qui raconte l'Histoire? La réponse étant: tout le monde, les vaincus, les vainqueurs et les observateurs subjectifs et objectifs.

Il y a deux sortes de théories, celles dont l'objet est l'élucidation de la réalité effective, et celles dont le sujet est la représentation de la société par les émetteurs de théories. Je les nomme ici «théoriciens de la théorie» car très souvent ils ont comme sujet des théories supposées ou avérées sans autre consistance que celle que leur donne leur discours.

Ce billet m'a été inspiré par cette remarque: «la vogue actuelle du terme peut s’expliquer comme une réaction au dirigisme croissant, et néfaste, des politiques de la recherche».

Je vis dans une société d'abondance où une part importante de la population vit dans le manque ou la peur du manque. Ce qui induit un sentiment de colère. Deux mauvaises conseillères...

Ou Subsidiarité, dévolution et péréquation. Je rêve d'une société où chacun sera responsable de soi et solidaire de tous. D'un sens, rien de plus simple. Et en même temps rien de moins facile. Question de contexte...

Un des autres noms de la corruption est l'anonymat. Ne jamais croire ce que dit une personne qui ne veut pas dire son nom ni le nom d'au moins deux autres personnes qui pourront confirmer ou infirmer ses propos, ce qu'on ne veut ni ne peut prouver est nécessairement faux.

Que les voix qui s'élèvent de ton sein sont douteuses et diversement entendues!…

Nicolas Machiavel est un auteur tout autre que cette réduction à un supposé et pauvre “machiavélisme”: quand on élucide les procédés les mieux à même pour des puissants d'asseoir leur puissance, qui sert-on: les puissants où ceux contre lesquels il leur arrive d'agir? Ce texte provient du “Discours sur la première décade de Tite-Live”, un ouvrage beaucoup moins notoire que son œuvre la plus citée.

Tant qu'à citer Machiavel, cet avant-propos à son “Discours sur la première décade de Tite-Live“, qui exprime très bien le but que peut se fixer tout honnête humain qui devise sur le monde et les êtres, spécialement les humains.

Ça m'étonne. Ça m'étonne beaucoup. Quelqu'un l'a dit il y a longtemps, rien de nouveau sous le soleil... Du fait, chaque fois qu'une personne affirme avec la plus grande conviction qu'on assiste à quelque chose d'inédit, de RA-DI-CA-LE-MENT nouveau!, chaque fois je suis dubitatif.

Non que je croies que ce blog soit si passionnant qu'il m'en faille donner, mais par respect pour ses abonnés et visiteurs il me semble devoir le faire.

Madame Irma n'est pas contente, les journaux lui volent le travail. La divination, les boules de cristal, c'est son boulot! Si les quotidiens se mettent à "informer" avec les méthodes d'Élisabeth Teyssier, où allons-nous?

Titre ambitieux qui ne correspond qu'en petite partie à mon propos. Je ne fais que reprendre le titre, plutôt ironique, d'un texte assez long, parce que j'en reprends aussi la conclusion, assez courte.

Bon... Le climat change... Grande nouvelle! Il passe son temps à changer, tantôt les glaces polaires disparaissent, tantôt elles s'étendent sur la moitié du globe, tantôt les mers se réduisent, tantôt elles s'étendent. C'est ainsi. Que faire alors? Rien. S'adapter. Comme d'habitude.

J'ai mon idée là-dessus, que je m'en vais vous exposer.

Une de mes réponses, dans ce blog, est: les vaincus; une autre, ici ou ailleurs, est: les vaincus autant que les vainqueurs. Une autre réponse possible est, tout le monde, n'importe qui et personne.

Ce texte devient trop long, du coup je le divise en deux parties, et probablement en trois parties par après. L'auteur, Ma Pomme, pourrait dans sa naïveté vous conseiller de les lire «dans l'ordre» mais l'auteur, Ma Pomme, dans sa lucidité le sait sans ordre, donc faites à votre idée...

Chose promise... Une troisième partie, donc, car la deuxième atteint ou dépasse la première en longueur. Cette fois j'engage à lire la deuxième partie avant la troisième, qui lui fait suite. Ou non: ce texte est sans ordre, donc je n'en donnerai pas...

Dans la partie III de cette discussion je ménage un suspense à la toute fin – un suspense très soutenable. J'aime bien cette troisième partie, elle me semble mieux tournée et plus pertinente que les deux précédentes. En tout cas, si vous lisez cette présentation, de suspense il n'y a plus. Pour l'heure je continue de raconter mon histoire, faute de raconter qui raconte l'Histoire...

J'ai une certaine réticence envers les “cigarettes électroniques“, qui sont beaucoup plus électriques qu'électroniques, cela dit. Mais plus encore envers une évolution récente, qui va contre toute logique sociale actuelle. Ça va même au-delà de la réticence.

Mais le vrai, 100% pur! Et non cette caricature supposément économique qu'on nomme ces temps derniers néo- ou ultra-libéralisme, que je nomme néo-soviétisme: la planification mais au service de quelques-uns plutôt que de tous, la privatisation de la loi et du droit. On peut aussi dire, système de castes et de corporations, ce qu'en France l'on nomma Ancien Régime après la rupture de 1791.